Bonnne ou mauvaise rencontre ?? [Libre]

La nuit était claire et une fois de plus, Anne Laure n'arrivait pas à dormir. Elle était en tailleur au milieu de sonlit, le regard posé sur sa fenêtre où les rideaux étaient restés ouvert. Elle était complétement perdue dans ses pensées, tout en observant la lune et les milliers d'étoiles qui parsemaient un ciel noir sans nuages. De temps en temps, un petit soupir sortait de sa bouche. Pourquoi est-ce qu'elle était venue habiter ici ?? Dans la ville natale de son père. Franchement, elle n'en savait rien du tout. Elle aurait pu aller n'importe où d'autre, mais non, c'était ici qu'elle avait décidé de venir s'installer pour refaire sa vie. Au bout de longues minutes, elle se mit debout et se dirigea vers son armoire. Il fallait à tout prix qu'elle se change les idées pour ne pas devenir dingue. Une fois que son choix vestimentaire fut fait, un pull noire,avec un jeans clairs et une veste blanche assez chaude, elle reposa son regard sur l'extérieur. Maintenant qu'elle était habillée, il ne lui restait plus qu'à trouver comment s'occuper. Parce que s'occuper en pleine nuit, sa devenait légèrement compliqué.

Sans trop réfléchir, Anne Laure se retrouva en bas de chez elle, dans la rue complétemnet déserte. Bon, c'était bien beau d'être dehors, mais elle n'avait toujours pas d'idée. Ses mains allèrent se placrer dans les poches de sa veste blanche et elle commença de marcher complétement au hasard. Franchement, se n'était pas en venant vivre dans un endroit qu'elle connaissait, que la demoiselle pourrait tirer un trait sur son passsé. Elle ne savait pas du tout où ses pas allaient la conduire, mais elle s'en fichait pas mal, tant qu'elle arrivait à se changer les idée, pour un moment du moins. Sans vraiment le réaliser, elle arrivva devant la grille du cimetière. Elle resta interdite quelques instant, avant de finalement pousser l'une des porte en fer forgé. Ses pas résonnèrent dans le silence de l'endroit. Il ne faillut que quelques minutes pour arriver devant une pierre tombale. Cette pierre appartenait à sa grand-mère. Elle resta debout l'observant sans bouger. Si quelqu'un arrivait, on aurait pu la prendre pour une statue.